Éditions GOPE, 13 x 19 cm, 220 pages, ISBN 979-10-91328-46-3, 18.85 €

mercredi 19 juillet 2017

Jeu-concours, La cité de l’Ange Noir

La cité de l’Ange Noir est paru le 2 août 2017 et nous vous donnons ci-dessous la réponse au jeu-concours.

La couverture de la version française du thriller de Harlan Wolff représente, dirait-on, une gargouille ou je ne sais quelle créature démoniaque et ailée... Il s’agit en fait de la photo d’une statue en pierre qui orne le wat Pho (Bangkok, Thaïlande), dans un sanctuaire dédié aux animaux errants !



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La cité de l’Ange Noir est en précommande jusque début août !

En plus d’être parmi les premiers à le lire, vous pourrez l’acquérir à un tarif « prévente » de 17 € au lieu de 19 €.

Et ce n’est pas tout !...

Out of the shadows


Cette prévente est assortie d’un jeu, sans obligation d’achat. « Liker » notre page Facebook n’est pas obligatoire non plus, mais pas interdit.

Il y a 3 exemplaires de Bangkok Noir ou de Un os dans le riz (au choix) à gagner pour ceux ou celles qui seront les premiers à trouver où (à Bangkok) cette photo a été prise  et ce qu’elle représente.

Les réponses peuvent être envoyées via la page contact de notre site ou en MP sur Facebook.

Tchok di !


Bangkok Noir (polar urbain) et Un os dans le riz (ethno-polar)


mardi 18 juillet 2017

Avis de lecteurs de Bangkok Rules/La cité de l’Ange Noir



« Harlan Wolff a écrit un roman à suspense moderne qui utilise efficacement le caractère unique de la ville et son charisme indubitable. Bel accomplissement de la part d’un intéressant nouveau venu. »
Colin Hastings, The Big Chilli Magazine.


« […] Je ne connais pas encore de meilleur thriller se déroulant à Bangkok que celui-ci. »
Stephen Leather, auteur de thrillers classé l’une des 100 personnes les plus influentes dans le monde de l’édition britannique par le magazine The Bookseller.


« Étonnamment excellent.
J’aime les romans policiers et celui-ci est étonnamment bien écrit. J’adore quand je ne peux pas deviner la fin à l’avance. »
Michele


« Je n’en reviens pas !
[…] J’ai été agréablement surpris, impressionné et diverti par ce roman. M. Wolff écrit avec un style plaisant et ne nous abreuve pas de longues descriptions des lieux ni de longues scènes d’exposition. Il donne au lecteur juste ce qu’il faut d’information pour faire sentir Bangkok, ce qui facilite la lecture. Les personnages sont vivants, originaux, inoubliables et crédibles. Les dialogues sont réalistes, empreints de naturel et font avancer l’histoire. L’intrigue était captivante et originale. […] »
Alex Shaw


« Étonnant.
M. Wolff connaît la Thaïlande, on le sent dès la première page.
Je craignais l’une de ses horribles fins du genre “et par un tour de passe-passe, il s’en sortit”, mais l’auteur nous offre un dénouement original et ingénieux. […] »
Matt Carrell


« J’ai vraiment aimé.
Harlan Wolff, avec ce premier roman écrit comme un auteur qui en a déjà publié 30. C’est un bel accomplissement pour un primo-romancier, et ce qui est plus étonnant encore c’est qu’il a écrit une œuvre originale et rafraîchissante sur un marché que l’on peut considérer comme saturé. J’ai lu ce livre de bout en bout en quelques heures. C’est plus un thriller qu’un roman policier […] »
James Newman


« Un aperçu du vrai Bangkok.
Je vis à Bangkok depuis plus de 15 ans et j’ai vraiment apprécié Bangkok Rules/La cité de l’Ange Noir. C’est le premier roman dont l’action se déroule ici et écrit par un étranger qui propose un aperçu réaliste et cru de la vie de certains expatriés.
J’avais essayé de lire d’autres fictions ayant pour cadre Bangkok, mais, en toute franchise, je n’ai jamais pu supporter tous les stéréotypes liés au monde de la nuit et à ses acteurs.
Bangkok Rules/La cité de l’Ange Noir n’évite pas d’évoquer les quartiers chauds, mais ce n’est pas le sujet principal.
J’ai bien aimé les différents personnages. […] »
MarcusBurtBKK

Présentation de La cité de l’ange Noir



Après l’ethno-polar Un os dans le riz et le polar urbain Bangkok Noir, nous récidivons avec La cité de l’Ange Noir, la traduction du Bangkok Rules de Harlan Wolff !

Harlan Wolff, qui a autopublié son roman en Thaïlande, est emblématique de ce vivier d’écrivains expatriés anglophones qui vivent en Asie du Sud-Est et écrivent en distillant dans leurs œuvres leur expérience locale. Et Harlan, qui a fêté en 2016 ses 40 ans de présence au Royaume, est l’un des mieux placés !

The bigchilli, octobre 2016, p.32-33

Tenant du roman noir, de l’ethno-polar et du thriller, La cité de l’Ange Noir a pour cadre « Krung Thep », « la ville des anges, etc. », et pour protagoniste un détective assez archétypique très proche du Philip Marlowe de Raymond Chandler : Carl Engel, le détective privé, est un observateur cynique et pessimiste d’une société corrompue ; sous des dehors bagarreur, cynique et imbibé, Carl Engel est souvent contemplatif et philosophe ; il apprécie les échecs et la littérature, écoute des concertos de Sibelius ; lorsqu’il n’a pas d’autres possibilités, il lui arrive d’utiliser la violence pour atteindre son but.
Harlan Wolff a également adopté des composantes du style de Raymond Chandler alliant étude psychologique, critique sociale et ironie, et un rythme rapide, entre autres.
Mais les similitudes s’arrêtent là…

Contrairement à Philip Marlowe qui est profondément écœuré par la corruption généralisée de la société californienne des années 40, tout particulièrement celle des politiciens et des policiers, Carl Engel a, lui, compris qu’il y a des combats qui ne peuvent pas être gagnés, et il va plutôt utiliser la corruption qui prévaut en Thaïlande comme un levier, non pas pour s’enrichir, mais dans la plupart des cas pour survivre, simplement survivre.
La grosse différence tient à ce que Carl Engel est un étranger en Thaïlande et que « […] quel que soit le nombre d’années passées dans ce lieu que tu qualifies de « chez-toi », tu es et resteras toujours un étranger. »

Bien moins prude que Philip Marlowe dont l’intégrité morale frise le puritanisme, Carl Engel, qui n’en reste pas moins un idéaliste et un romantique, se laisse trop souvent embobiner par les habituelles femmes fatales voire faciles, surtout après avoir bu quelques verres dans un gogo-bar.
Le roman est aussi ponctué de jeux de mots grivois et de quelques saynètes polissonnes.

www.harlanwolff.com

Autres différences : il y a dans La cité de l’Ange Noir de nombreux personnages secondaires hauts en couleur (locale), quelques passages assez gores et, bien sûr, en arrière-plan, une description en clair-obscur d’une ville asiatique qui nous apparaît sous un jour fort différent.

C’est écrit avec style et une fois la lecture commencée, vous aurez bien du mal à reposer le livre avant de l’avoir fini !

dimanche 16 juillet 2017

Résumé de La cité de l'Ange Noir



À Bangkok, un tueur en série enlève des jeunes filles et se livre à un abominable rituel sadique. Les autorités n’ont aucun indice.

Carl Engel est une énigme, même pour ses proches. Pendant trente ans, ce Londonien au caractère entier a réussi à se forger une carrière de détective privé malgré les soubresauts de la vie politique thaïlandaise. Luttant contre le vieillissement, l’alcoolisme et une charge de travail décroissante, il est contacté par un Américain âgé qui, moyennant un cachet exceptionnellement élevé, le charge de retrouver son frère disparu.

L’enquête nous fait descendre dans le monde sordide du tueur en série et dans les bas-fonds de Bangkok, avec un petit détour par les tables de jeux de Macao, sur fond de luttes de pouvoir remontant à la guerre du Vietnam.

Assisté d’amis fidèles (ex-CIA, journaliste, chauffeur de taxi, colonel et de figures du monde interlope des bars de nuit), Carl aura pour seule priorité de rester en vie et de débusquer le tueur.

Présentation de Harlan Wolff



Harlan Wolff vit en Thaïlande depuis 1977.

Pendant une vingtaine d’années, il a été détective privé et médiateur et a résolu des affaires de vols, de meurtres, d’enlèvements et d’espionnage industriel.

Dès sa plus jeune enfance, Harlan voulait être écrivain et, trouvant dans son expérience personnelle hors du commun un matériau littéraire riche, il nous apporte la preuve d’un réel talent avec ce premier roman.